Le 14/02/2023,

 

Pour la rentrée universitaire 2023, le processus d'entrée en première année de master évolue.

 

Dès le 22 mars 2023, les étudiants et personnes en reprise d'études devront présenter un dossier de candidature unique sur la plateforme monmaster.gouv.fr suivant un calendrier commun à l'échelle nationale.

 

L'intégralité de l'offre de formations en master est consultable sur la plateforme nationale Mon Master : plus de 3 500 formations et 8 000 parcours de masters sont proposés par les établissements supérieurs publics ou privés en convention avec un établissement public.

 

La plateforme nationale Mon Master s'adresse aux étudiants titulaires (ou en préparation) d'un diplôme national de licence ou d'un diplôme permettant d'accéder au cursus master,

 

Les étudiants français et les ressortissants de l'Espace économique européen, d'Andorre, de Suisse et de Monaco doivent candidater sur la plateforme.

 

Les étudiants autorisés à redoubler leur première année de master ou ceux dont le cursus prévoit automatiquement l'admission en première année de master, notamment en cursus master en ingénierie (CMI), ne sont pas concernés par le dispositif.

 

Du 22 mars au 18 avril 2023, les candidats ont la possibilité de déposer un maximum de 15 candidatures.
Ils disposent également d'un maximum de 15 autres candidatures dans les formations en alternance.

 

Le calendrier 2023 détaillant chaque étape d'inscription est en ligne.

 

L'admission en première année de master n'est pas automatique. Selon les établissements, elle peut être soumise à l'examen du dossier du candidat, à un entretien, au succès à un concours.

 

Bon à savoir : quelques formations, notamment des masters à vocation internationale, n'utiliseront pas la plateforme pour le recrutement en première année de master. N'hésitez pas à vous renseigner directement auprès des établissements concernés.

 

Un dossier  incomplet, invalide ou ne répondant pas aux attendus de la formation, pourra entraîner le rejet de la candidature.
L'étudiant disposera d'un délai d'un mois à compter de la notification du refus pour demander au chef d'établissement concerné les raisons du rejet du dossier.